C’est reparti :
- buttages des premières planches,
- suivi des cultures en place,
- et premiers semis. Ils ont nécessité – amenés à pied d’œuvre dans la «benne à cailloux» – la participation des deux semoirs manuels.
Nos deux semoirs :
L’un issu de fabrication industrielle
Tout de fine tôle construit et de son gilet jaune vêtu, le semoir issu de production industrielle délocalisée pour nos premières carottes de l’année 2022.
Deux petites précisions concernant ce matériel que les Biaux Jardiniers avaient acquis dès les débuts de sa distribution en France.
- Nous l’avions modifié pour l’adapter à notre besoin de semer des rangs à écartement suffisant pour entretenir la culture sans difficulté.
- Son prix de vente comme celui de ses accessoires semble suivre une courbe ascendante. Parallèle à la notoriété des buzz internationaux de stages et méthodes miraculeuses de maxi bénéf’ sur micro surface.
L’autre d’origine artisanalo-maraîchère
Le semoir issu de production artisanalo-maraîchère locale disparue depuis une génération, en même temps que le maraîchage intensif péri-urbain chalonnais : le très fameux et à nos yeux irremplaçable «Pourey». Sans lui nous n’envisageons même pas de semer les radis !! À noter que pour le confort du travailleur, le Pourey s’utilise à deux. Ce qui explique que Vivien ait pris la pause le temps que le chargé de comm’ qui était responsable de la traction animale avant prenne la photo…
Évidemment bien sûr, tous ces semis ont été réalisés sur des planches qui bénéficiaient d’une occultation depuis plusieurs semaines. Les toiles qui avaient été ouvertes le temps du semis ont été remises en place aussitôt après, dans l’attente de la levée des graines.
Cueillettes
Et puis bien sûr cueillettes de saison
et autres préparations de paniers et livraisons ont complété les premières journées de maraîchage de cette nouvelle année 2022, puisque 2022 il y a finalement eu…
Le travail sur le site internet reprend lui aussi : la fiche-légume de l’endive a été mise à jours. Bonne lecture !