Les Biaux Jardiniers ont fait ces derniers jours des plantations sous tunnel : laitue, batavia, épinard… en mottes, pommes de terre, et un nouveau semis de radis. Et Émilie, en charge de l’atelier plants, fait pas mal de plaques de mottes pour y semer ensuite petit pois et fève. Pour travailler en confort, on mobilise plusieurs de « nos petits outils gentils qui rendent la vie jolie ».
Les plaques alvéolées vides, Émilie les a amenées avec un transpalette :
c’est plus confort que sur l’épaule, et « au cas où » ça permettra de les bouger sans peine. Pour remplir de terreau les plaques vides, on travaille sur un des tables à roulettes en confiant la partie la plus pénible au gerbeur : dans le cadre de notre politique d’exploitation de la mécanique par l’être humain, c’est un outil qui porte lui-même la palette de sacs de terreau et la maintient à la hauteur désirée pour qu’Émilie n’ait plus qu’à faire glisser tranquillement le terreau dans les plaques.
avant de les tasser à la main. Cette machine, achetée d’occasion un prix très raisonnable il y a 15 ans, rend encore de nombreux services, même si l’âge aidant, ses performances baissent un peu.
Au fur et à mesure, Émilie stocke les plaques garnies de terreau sur une palette
avant de se lancer dans le semis des petits pois et fèves. Car semis comme remplissage, restent des travaux complètement manuels, réalisé par ses « blanches mains » qui, comme elle n’a pas mis ses gants, le redeviendront en fin de journée par un passage au lavabo !!
* * * * *