«En même temps» qu’à la production des légumes, les Biaux Jardiniers, travaillent aussi depuis mi-juillet à la construction d’un bâtiment – chapelle. C’est une aventure en plusieurs épisodes : après démontage et transport de la chapelle achetée d’occasion, il fallait se lancer dans le terrassement.
Terrassement évacuations
Et notamment raccorder l’évacuation des eaux pluviales au système déja existant.
ce qui a été rapidement réalisé à la mini-pelle. Le Biau Jardinier a calé manuellement au fond avec la pelle : celle à manche frêne. 🙁
Et c’est bien sûr Grebert TP qui a assuré à la mini-pelle la suite avec de la gravelette, dans l’attente de cimenter les raccords.
Pose de la charpente sur poteau
Puis un soir des engins ont été livrés sur place pour entamer la construction le lendemain, qui était jour férié : ne pas confondre «jour férié» et «jour fait rien»… Une fois garnie des grosses pelleteuse, manuscopic et nacelle, la cour devenait toute petite !
La grosse pelleteuse pour que Grebert TP puisse rapidement décaisser le cailloux de la cour et préparer le chantier et sa dalle ; et la nacelle pour le montage du bâtiment-chapelle. Ensuite, avec manuscopic et nacelle en locations, le montage a pu commencer. Le manuscopic maintenait en place la première ferme de la charpente tandis que la nacelle permettait de travailler confortablement et en sécurité pour les assemblages provisoires.
Le début a, comme tous les débuts, été un petit peu hésitant (les Biaux Jardiniers ne sont pas des professionnels à plein temps du montage des serres et tunnels !). Mais peu à peu, çà a avancé correctement, et même mieux.
Le soir, le début de la chapelle tenait d’aplomb… avec un contreventement et quelques petits haubans et sangles provisoires.
Et le lendemain, il y a eu le réglage définitif de l’alignement des premiers poteaux sous la direction de Richard, le maçon, et de son laser. Avec un calage complémentaire de l’aplomb de chaque travée déjà posée.
Alors, les poteaux ont pu être chevillés définitivement, leurs platines soudées par les bons soins de Jean-Charles, notre mécano local, qui se déplace quand les Biaux Jardiniers ne se sentent pas sûrs de leur qualification.
Ce bâtiment-chapelle, il paraît bien grand ; et il l’est, c’est vrai. Mais en plusieurs occasion lors du chantier Biaux Jardiniers, mécano et maçon se sont dits : «y’a pas trop d’place», hein ! Mais tout le monde a réussi à s’organiser pour cohabiter.
(À suivre…)
Ensuite ? Et bien ensuite, ne restait qu’à persévérer… et tenir l’objectif de finir dans la journée pour rendre au plus vite le matériel en location. La suite au prochain épisode de notre nouvelle saison de l’aventure estivale du Biau Jardinier : le bâtiment-chapelle.
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